If we could experience, even for half a day, the horrors of being victims of domination, we would not need a full evening's debate in the House of Commons to decide that Quebeckers and Canadians are in agreement on going to the assistance of a population that is the victim of a cold-blooded adversary once again, one who has not yet been made to heed the voice of reason.
Si nous pouvions vivre, ne serait-ce qu'une demi-journée, le désastre humain de ces victimes de la domination humaine de la part d'une autre personne, nous n'aurions pas besoin d'un débat d'une soirée complète à la Chambre des communes pour décider que les Canadiens et les Québécois sont d'accord pour aller aider une population démunie devant un adversaire, encore une fois sanguinaire, qui n'a d'aucune façon pu entendre raison jusqu'à maintenant.