With the arrival of the digital era many believed this would herald a new day for artists, a dawning of a middle class where it was not always a feast or a famine, where new revenue streams and business models would raise the average income for Canadian artists from below the poverty line to something resembling a decent living.
L'avènement de l'ère du numérique a fait croire à de nombreuses personnes que la situation des artistes changerait, que ces derniers se retrouveraient dans la classe moyenne et ne seraient donc ni pauvres, ni riches, mais bénéficieraient de nouvelles sources de revenus et de nouveaux modèles d'affaires. Ces personnes ont cru que le revenu moyen des articles canadiens serait plus élevé que le seuil de pauvreté et leur permettrait de vivre décemment.