In 1925, however, following a recent increase in the number of such motions, a special committee reported that “The unanimous consent of the House is usually granted with such readiness and so little opposition that in many cases motions are passed before the House has had time to understand them”.
En 1925 cependant, peu de temps après une augmentation du nombre de ces motions, le Comité spécial chargé de réviser le Règlement constata que « le consentement unanime de la Chambre est d’ordinaire octroyé avec un tel empressement et si peu de débat, que plus d’une fois les motions passent sans que la Chambre ait eu le temps de s’y reconnaître ».