Obviously, the provisions contained in Bill C-23 were to address the situation commonly known as the Pierre Poutine scandal, in which some still unknown culprit apparently attempted to use voter suppression tactics by sending out phone messages to voters, primarily in Guelph, I suspect, but perhaps on a far wider range than that.
Les dispositions du projet de loi C-23 font bien sûr suite à ce qu'on appelle communément le scandale Pierre Poutine, qui aurait amené un inconnu à employer des tactiques de suppression de votes et à envoyer des messages téléphoniques à des électeurs — surtout dans Guelph, je présume —, mais peut-être aussi à bien plus grande échelle.