The agents say some of the company's products have been exported to the UK (and most likely to other EU states), and that the use of skin from condemned convicts is 'traditional' and nothing to 'make such a big fuss about'.
Ces représentants affirment que certains produits de l’entreprise ont été exportés au Royaume-Uni (et très probablement dans d’autres États de l’Union européenne) et que l’utilisation de peau prélevée sur des condamnés est une pratique «traditionnelle» et qu’il n’y a pas de quoi «en faire toute une histoire».