Essentially, with respect to language of work, we want to give the 8% of workers who fall under federal jurisdiction the same right as other wage earners, that is to say, the 92% of workers who have the right to work in French.
Au fond, en matière de langue de travail, on veut donner la possibilité à cette proportion de 8 p. 100 de la main-d'oeuvre, qui relève de la compétence fédérale, d'avoir le même droit que les autres salariés, qui représentent 92 p. 100 de la main-d'oeuvre et qui ont le droit de travailler en français.