The debate would include issues such as whether Turkey can, geographically speaking, be considered part of Europe, whether its secularity is merely the result of the army which keeps it in check, whether an EU with borders stretching to Iraqi Kurdistan would be wise, and whether, due to its enormous demographic mass, Turkey’s accession would throw the EU off balance.
C’est qu’il y a donc des doutes qui, pour le moins, justifient ce débat, qui porterait, entre autres, sur les questions de savoir si la Turquie peut, géographiquement, être considérée comme faisant partie de l’Europe, si la laïcité y est suffisamment solide pour survivre sans la vigilance de l’armée, s’il serait sage pour l’UE de repousser ses frontières jusqu’au Kurdistan iraquien et si l’adhésion de la Turquie, avec sa masse démographique énorme, ne déstabiliserait pas l’Union.