What we must actually do here is ask ourselves why, despite the resolutions, the autonomous activities of a community are still subject to Israeli approval, why a recently-built airport cannot operate, why the extermination of a community of 4 million people which, since the beginning of the Yom Kippur war, has been reduced by almost 10% by a subtle, insidious, treacherous, poisonous, cynical, cruel war which shows no mercy to women or children, is not considered to be genocide.
Le véritable problème est ici de se demander pourquoi, en dépit des résolutions, l’autonomie d’un peuple est encore sujette au contrôle israélien, pourquoi un aéroport récemment construit ne peut être mis en service, pourquoi il n’est pas permis de considérer comme un génocide l’élimination d’une population de 4 millions de personnes qui, depuis la guerre du Kippour, s’est vue décimée de près de 10 pour cent par un conflit subtil et rampant, perfide et empoisonné, cynique et cruel, qui n’épargne ni les femmes ni les enfants.