Given the stalemate in the peace process since the LTTE withdrew in 2003, and the seemingly irreconcilable zero-sum perspectives of Rajapaske, (who campaigned with promises not to share power with the LTTE) and Pirapaharan, does the EU not feel it has an overwhelming responsibility, as a Tokyo co-chair and a key donor, to open an urgent dialogue with both parties before they return to violence, to find a solution which realises the Tamil right to self-determination within a united Sri Lanka?
C
omme le processus de paix est dans l’impasse depuis que les TLET s’en retirèrent en 2003 et que tant M. Rajapaske (qui fit campagne sur la promesse de ne pas partager le pouvoir avec les TLET) que M. Pirapaharan offrent des perspectives à somme nulle, apparemment inconciliables, l’Union européenne n’estime-t-elle pas qu’elle a la responsabilité écrasante, en sa qualité de coprésidente de la conférence de Tokyo et de donateur de première importance, d’ouvrir un dialogue urgent avec l’une et l’autre partie avant que les violences ne reprennent entre elles, dans le but de trouver une solution qui concrétise le droit des Tamoul à l’autodétermination dans un Sri
...[+++] Lanka uni?