Une application conservatrice de ce modèle nous apprend que lors d’un examen au sein d’un
e cohorte de 50.000 patients, on peut s’attendre à au maximum 5 à 11 cas de séroconversion pour le VHB et 1 à 2 cas de séroconversion pour le VHC. Le risque de séroconversion pour le VIH est encore 100 fois plus faible que pour le VHC. C’est pourquoi le groupe
de travail propose, dans un premier temps, d’effectuer des tests sur la présence de l’antigène hépatique de surface VHB, les anticorps core VHB et les anticorps VHC. Le modèle mathématique
combine le ...[+++] nombre d’infections nosocomiales potentielles (vrais positifs) et les chiffres de prévalence (vrais positifs), avec des données sur la spécificité des tests de diagnostic VHB/VHC/VIH les plus utilisés en Belgique (afin de se former une idée sur le nombre de faux positifs).
Conservatieve toepassing van dit model leert dat in een screeningscohort van 50.000 patiënten maximum 5 tot 11 gevallen van HBV-seroconversie, en 1 tot 2 HCV-seroconversies verwacht kunnen worden. Het risico op HIV-seroconversie is nog 100 keer kleiner dan het geval is voor HCV. Daarom stelt deze Werkgroep voor om in eerste instantie te testen voor de aanwezigheid van HBV surface antigeen, HBV core antilichamen, en HCV antilichamen.