II faut aussi noter que ch
ez nous, malgré des efforts méritoires essentiellement des infectiologues et des microbiologistes pour assainir l'antibioprophylaxie péri-opératoire, la consommation abusive était courante dans c
e domaine et que ce sont les mesures ministérielles basées sur une sanction
financière qui ont permis, comme par un coup de baguette magique, d'atteindre l'objectif, comme l'atteste une lettre envoyée en 1999 par l
...[+++]'INAMI aux médecins-directeurs et aux pharmaciens des hôpitaux !