Il y a dès lors lieu de supposer, comme l’a conclu le groupe, que Shant, dont il est confirmé qu’il était le commandant de l’Armée de libération du Soudan dans cette région, devait avoir connaissance de l’attaque et l’avoir approuvée, voire commandée.
Redelijkerwijs kan daarom worden aangenomen, zoals het panel deed, dat Shant als de vaste SLA-bevelhebber in de regio, kennis moet hebben gehad van de aanval en die goedgekeurd of gelast heeft.