Van drooghenbroeck, « Requête vs citation », JT, 1997, pp. 237 et s.), sous la réserve que le juge peut mettre les dépens à charge de la partie par la faute de laquelle ils ont été causés, même si l'autre partie a succombé (Cass., 24 avril 1978, Pas., 1978, I, 955); tel peut être le cas lorsque la partie victorieuse a opté pour la voie la plus onéreuse sans utilité appréciable (P. Moreau, « La charge des dépens et l'indemnité de procédure », in Le coût de la justice, éd. du Jeune Barreau Liège, 1998, pp. 169 à 203 et « Le choix de la voie la plus onéreuse sanctionné par la condamnation aux dépens », JJP, 1999, pp. 345 à 348).
Van Drooghenbroeck, « Requête vs citation », JT, 1997, blz. 237 e.v.), met dien verstande dat de rechter de kosten ten laste kan brengen van de partij door de schuld van wie ze zijn veroorzaakt, zelfs indien de andere partij in het ongelijk is gesteld (Cass., 24 april 1978, Arr. Cass., 1978, 965); dit geval kan zich voordoen wanneer de in het gelijk gestelde partij de duurste oplossing heeft gekozen zonder dat zulks een merkbaar nut heeft meegebracht (P. More
au, « La charge des dépens et l'indemnité de procédure », in Le coût de la justice, éd. du Jeune Barreau Liège, 1998, blz. 169 tot 203, en « Le choix de la voie la plus onéreuse san
...[+++]ctionné par la condamnation aux dépens », JJP, 1999, blz. 345 tot 348).