Ils tendaient à une réduction qui représentait à l'époque approximativement 25 à 30 % des arsenaux, à savoir une parité de 6 000 ogives de part et d'autre, étant entendu que les États successeurs de l'Union soviétique se sont mis d'accord pour que le Kazakhstan, l'Ukraine et le Bélarus deviennent des États non détenteurs au titre du Traité de non-prolifération et que seule la Russie soit détentrice de l'arme nucléaire.
De bedoeling was om de arsenalen te beperken tot 25 à 30 %, of 6 000 kernkoppen aan elke zijde, met dien verstande dat de landen die ontstaan zijn na het uiteenvallen van de Sovjet-Unie hebben afgesproken dat Kazachstan, Oekraïne en Wit-Rusland krachtens het non-proliferatieverdrag geen kernwapens meer zouden hebben, en dat alleen Rusland er nog zou bezitten.