À la question que j'ai posée pour savoir si la ministre avait déjà exa
miné la question de manière approfondie et si elle pouvait, d'une manière ou d'une autre, contrôler les « tendances d'appréciation » des différentes CDS afin de vérifier si elles sont correc
tes ou peuvent être appliquées de manière générale, la ministre a répondu : « Même si je disposais de chiffres démontrant des tendances claires d'appréciation des différentes CDS (il s'agirait alors de la proportion de mises en liberté accordées par rapport aux demandes de libéra
...[+++]tion), il n'est cependant pas possible de vérifier si ces tendances sont correctes et si elles peuvent être appliquées de manière générale».