Interrogé sur la raison de l'ampleur de sa rémunération en 2007, qui a atteint la somme de 3,91 millions d'euros, l'ancien CEO de Fortis Jean-Paul Votron déclarait à la presse: « Il n'y a pas beaucoup de gens qui savent faire le boulot que je fais, tout comme peu de gens savent jouer au tennis comme Justine Henin» (1) Cette déclaration est le reflet de l'arrogance et de la vanité qui caractérise une certaine élite managériale d'aujourd'hui.
Toen journalisten aan Jean-Paul Votron, gewezen CEO van Fortis, vroegen waarom hij in 2007 zo'n hoge vergoeding (3,91 miljoen euro) had opgestreken, verklaarde hij : « Il n'y a pas beaucoup de gens qui savent faire le boulot que je fais, tout comme peu de gens savent jouer au tennis comme Justine Henin» (1) Die uitspraak geeft de arrogantie en de ijdelheid weer die kenschetsend is voor welbepaalde hedendaagse topmanagers.