Il est demandé à la commission de démontrer, tout d'abord, en qu
oi les législateurs nationaux ne seraient pas en mesure de réagir adéquatemen
t par rapport à des comportements inacceptables, telle la provocation directe à commettre des délits terroristes, et, ensuite, que les nouvelles incriminations n'excèdent pas ce qui est nécessaire pour attei
ndre l'ensemble des objectifs poursuivis, en particulier en expliquant la compatibilité
...[+++] de ces dispositions avec le respect des droits fondamentaux, comme la liberté d'opinion, d'expression, d'association et de presse.