Or, jusqu’ici, ces personnes restent détenues; de plus, les épouses de deux d’entre eux, René González et Gerardo Hernández, se voient interdire par l’administration des États-Unis la délivrance des visas, qui leur permettraient de rendre visite à leurs époux.
Niettemin zitten de vijf nog steeds in de gevangenis en geven de Amerikaanse autoriteiten de echtgenotes van René González en Gerardo Hernández nog altijd geen toestemming om hun man te bezoeken.