Da
ns l'hypothèse où l'expert-comptable intervient, non plus en tant que témoin, mais en tant qu'expert-comptable, il appartient au juge de première instance d'apprécier si les contestations portent suffisamment sur des éléments de faits ou des questions relatives au droit c
omptable pour qu'il puisse autoriser l'assistance de l'expert-comptable [praticien qui, en vertu de la loi du 21 février 1985 relative à la réforme du revisorat d'entreprises, doit avoir le même niveau de compétence et de formation que le réviseur d'entreprises et ê
...[+++]tre soumis aux mêmes conditions de diplôme (niveau universitaire) que celui-ci].