Les auteurs entendent d'ailleurs réfuter les arguments
portés par les élus flamands de Hal-Vilvorde, selon lesquels, d'une part, les inquiétudes de
leur population ne seraient pas rencontrées par le parquet et les juges d'instruction bruxellois (absence de poursuites pour certains types de délits, délai trop long entre le moment où l'infraction est commise et celui où elle est sanctionnée) et, d'autre part, les policiers flamands se plaindraient de difficultés de dialogue
avec les magistrats francophones ...[+++] avec lesquels ils traitent.