J'en viens maintenant au fond. Je ne peux m'empêcher de relever l'une des phrases de notre collègue, Philippe Moureaux, qui déclare ce matin dans La Libre Belgique que quand la gangrène atteint un membre, il faut se résoudre à le couper.
Collega Philippe Moureaux verklaarde deze ochtend in La Libre Belgique dat een lidmaat dat door gangreen is aangetast, moet worden geamputeerd.