Selon eux, l’État grec était pressé par le temps car il tenait à garantir les emplois et à sauvegarder l’environnement. Sur ce dernier point, les autorités grecques et le bénéficiaire affirment que, si la vente des mines n’avait pas eu lieu, l’État grec aurait dû faire face à des dépenses importantes en faveur de l’environnement, de l’ordre de 15,7 millions d’euros.
Wat het milieu betreft, voeren zij aan dat als de mijnen niet verkocht waren materiële milieuschade ten belope van circa 15,7 miljoen EUR ten laste van de Griekse staat zou zijn gekomen.