On ne peut être convaincu par l'argumentation avancée par le ministre en commission de la Chambre, selon laquelle « obliger systématiquement les comités d'éthique à compter parmi leurs membres un pharmacien constituerait une lourde contrainte pour les 180 comités d'éthique existants », ni par l'affirmation selon laquelle « il appartient aux instances publiques compétentes, et non au pharmacien présent au sein d'un comité d'éthique, de se prononcer sur la qualité du médicament ».
De argumentatie die de minister in de Kamercommissie verstrekte, dat « de ethische comités verplichten stelselmatig een apotheker als lid op te nemen, een ernstige beperking zou inhouden voor de 180 bestaande ethische comités », en nog « dat het overheid, en niet een apotheker in een ethisch comité toekomt zich uit te spreken over de kwaliteit van het geneesmiddelen » kan niet overtuigen.