Le général Dallaire lui aussi s'opposait d'ailleurs à la cessation de l'opération, tout comme le colonel Marchal, qui fait état, dans son rapport confidentiel de mai 1995, des conversations qu'il avait eues en tant que chef de la Minuar pour le secteur de Kigali avec le représentant spécial des Nations unies, M. Booh Booh, et son conseiller, M. Khan : « Je conserve un pénible souvenir de l'entrevue au cours de laquelle j'ai communiqué (.), que le gouvernement belge avait décidé de retirer son contingent, suite à l'assassinat de dix de ses Casques bleus.
Overigens was ook generaal Dallaire een tegenstander van het stopzetten van de operatie, net zoals kolonel Marchal, die in zijn vertrouwelijk rapport van mei 1995 overigens melding maakt van de gesprekken die hij als toenmalig hoofd van UNAMIR voor de sector Kigali had met de speciale VN-vertegenwoordiger Booh Booh en zijn raadgever de h. Kahn : « Je conserve un pénible souvenir de l'entrevue au cours de laquelle j'ai communiqué (.), que le gouvernement belge avait décidé de retirer son contingent, suite à l'assassinat de dix de ses Casques bleus.