Ce n'est qu'à ce moment-là que le débat se focalisera réellement sur les « vraies demandes d'euthanasie », celles qui sont motivées par une souffrance physique que la médecine actuelle est incapable de soulager et celles qui sont motivées par une conception philosophique personnelle de la dignité que l'accompagnement le plus respectueux ne parvient pas à réduire.
Pas dan kan het debat zich toespitsen op de « echte verzoeken om euthanasie », die worden ingegeven door een fysiek lijden dat de huidige geneeskunde niet kan verlichten, of die worden ingegeven door een persoonlijke filosofische opvatting van de waardigheid waartegen de meest respectvolle begeleiding niets vermag.