La mise en place, au début de 1996, d'un groupe de travail « victim
es et exécution des peines », dont les travaux devaient servir de base aux premières dispositions réglementaires visant à la reconnaissance de la victime dans le cadre de l'exécution des peines, a contribué à mieux cerner les enjeux, les difficultés inhérentes à cette pratique, mais aussi les résist
ances que l'on peut attendre dans différents milieux professionnels, davantage habitués à gérer la problématique du traitement de la délinquance ou de la réinsertion sociale
...[+++] que le contact avec les victimes.