La décision, prise à ce stade précoce par les États membres,
de remplacer leurs politiques nationales respectives, coûteuses et en partie contradictoires, par une politique commune défi
nie dans le traité, était dictée par la valeur ajoutée escomptée, s'agissant de garantir la libre circu
lation des produits agricoles et d'éviter toute distorsion de concurrence au sein de la Communauté européenne, de favoriser la stabilité des approv
...[+++]isionnements, et de renforcer la compétitivité sur les marchés intérieur et extérieur.