Quant à l'inflation sous-jacente, qui ne tient pas compte des prix de l'énergie et des denrées alimentaires non transformées, elle a augmenté mais reste modérée, ce qui est la conséquence d'une période prolongée marquée par une faiblesse de l'inflation et de la progression des salaires, ainsi que par la sous-utilisation persistante de la main-d'œuvre.
De kerninflatie, waarvan de prijzen voor energie en onbewerkte voedingsmiddelen zijn uitgesloten, is daarentegen gestegen maar blijft beperkt ten gevolge van een langdurige periode van lage inflatie, zwakke loongroei en voortdurende slapheid van de arbeidsmarkt.