De cette manière, il devient i
ntéressant de payer malgré tout des cotisations (para)fiscales pour les heures supplémentaires prestées, ce qui engendre indéniablement une situation où
tout le monde est gagnant : le travailleur qui le souhaite peut se faire des à-côtés sans que la rémunération qu'il perçoit pour son travail soit surtaxée et l'employeur peut, dans le cadre de la protection de sa propre entreprise, faire face aux fluctuations du marché qui le contraignent à travailler de manière plus flexible, tandis que l'État perçoit davantage de recettes, qu
i lui permettent de ...[+++]répondre aux besoins sociaux.