Il suffit de rappeler à cet égard la situation linguistique scandaleuse qui caractérise la plupart des hôpitaux bruxellois publics et privés, où les néerlandophones ne peuvent généralement pa
s être soignés dans leur propre langue, et les incidents, régulièrement relatés dans la presse, impliquant les services médicaux d'urgence (SMUR) de l'agglomération bruxelloise ou du Brabant wallon qui, intervenant à la suite d'appels venant du Brabant flamand, arrivent sur
les lieux beaucoup trop tard ou prodiguent des soins
...[+++]qui ne sont pas les bons à cause de leur connaissance insuffisante du néerlandais.