Mais encore
: de renforcer des approches qui investissent dans la connaissance et le savoir-faire, de promouvoir l'investissement dans la recherche agronomique et dans la vulgarisation des informations auprès du monde paysan, d'encourager les autorités congolaises dans leur politique de soutien à la bonne gouvernance du secteur, de soutenir les actions qui favorisent la responsabilisation des acteurs de la société civile, d'encourager le gouvernement congolais à poursuivre les stratégies de développement qui réduisent l'instabilité des prix, de promouvoir une approche « agro-écologique » telle que défendue par le rapporteur
spécial ...[+++] des Nations unies Olivier De Schutter, de favoriser le droit à la protection des producteurs locaux contre les importations massives et de soutenir la lutte contre le phénomène de l'accaparement des terres.