En 2010, le Comité des droits de l'Homme des Nations unies, qui surveille la mise en œuvre du PIDCP, a exprimé son inquiétude quant à « l'utilisation très fréquente de la détention administrative, y compris pour les mineurs » et recommande qu'Israël s'abstienne d'y avoir recours.
In 2010 heeft het Mensenrechtencomité van de Verenigde Naties, dat toeziet op de uitvoering van het IVBRP, zijn bezorgdheid geuit over « l'utilisation très fréquente de la détention administrative, y compris pour les mineurs ». Het beveelt aan dat Israël hier geen gebruik meer van maakt.