Ceci n'a rien de commun avec les présentations d'ELIA de décembre 2014 et mars 2015 auxquelles vous vous référez et qui exposait que, grâce à des équ
ipements de mesures très spécifiques (Ampacimon) et au monitoring en continu des possibilités de surcharges des lignes en fonction de la température extérieure, la capacité technique, à la frontière nord, pouvait, en cas de températures basses, être portée à 3.400 MW, dont 700 environ devaient être considérés comme destinés au marché français, ne laissant ainsi qu'un "solde disponible"
de 2.700 MW. Cette dernière restricti ...[+++]on étant bien évidemment fonction de la température globale sur la France.