À l'occasion de l'Assemblée générale des Nations unies de septembre 2005, le premier ministre français annonçait qu'il mettrait cette taxe en vigueur au cours de l'ann
ée 2006, initiative soutenue à l'époque par plusieurs États et par le Secrétaire général des Nations unies, qui déclara que les sources innovantes de financement du développement resteraient importantes, même si les États européens tenaient leur engagement de consacrer 0,7% de leur
revenu national à l'aide publique au développement et même si, on peut toujours l'espérer,
...[+++] les objectifs du Millénaire étaient atteints.