Bovendien was er vóór 1976 weinig reden tot panacheren. Want in 1964 streden er in 49,7 % en in 1970 nog in 44,5 % van de Belgische gemeenten slechts twee lijsten om de gunst van de kiezer. Wanneer slechts weinig lijsten opkomen, voelt de kiezer uiteraard nauwelijks de behoefte om te panacheren.
En outre, avant 1976, il n'y avait guère de raisons de panacher, car en 1964, le cas où deux listes seulement se disputaient les faveurs de l'électeur se présentait dans 49,7 % des communes belges; en 1970, ce pourcentage était encore de 44,5 % Lorsque les listes en présence sont peu nombreuses, il va de soi que l'électeur n'éprouve guère le besoin de panacher.