P
ar un amendement à la disposition originaire en vue d'introduire une concertation préalable obligatoire avec un médecin spécialiste en psychiatrie ou un psychologue - cette concertation faisant partie intégrante du dossier médical du mineur -, le Gouvernement entendait insister sur la protection des mineurs, estimant qu'il était important de pouvoir analyser avec l'adolescent ou l'enfant le besoin réel d'une intervention et les conséquences que
pourraient avoir de tels actes sur sa vie future (Doc. parl., Sénat, 2011-2012, n° 5-62/3, pp. 4 et 5; Doc. pa
...[+++]rl. Sénat, 2012-2013, n° 5-62/5, p. 6).