De Britse regering beargumenteerde de hervorming met de stelling dat de eventueel aangerichte "schade" door de thuiskopie reeds verrekend is in de verkoopprijs van de culturele producties.
Le gouvernement britannique a défendu sa réforme en faisant valoir que le "dommage" éventuellement causé par la copie privée est déjà intégré dans les prix de vente des productions culturelles.