Uit onderzoek van de Universiteit Antwerpen blijkt dat het aantal kinderen en jongeren dat geconfronteerd wordt met psychopathologie in de "Bijzondere Jeugdbijstand", afhankelijk van de werkvorm, drie- tot zesmaal hoger is dan op basis van algemene bevolkingsgegevens verwacht kan worden.
Une étude réalisée par l'université d'Anvers révèle qu'en fonction de la forme de travail prise en considération, le nombre d'enfants et de jeunes confrontés à des pathologies d'ordre psychologique dans le cadre de l'assistance spéciale à la jeunesse est trois à six fois supérieur à une situation considérée comme normale sur la base de données générales de la population.