According to the proponents of this proposal, including Mr. Cotler and law professor François Larocque of the University of Ottawa, this would make the process less politicized than requiring government listing of a country in order to be able to sue while still preventing baseless claims (48) Countries with which Canada has extradition treaties are presumed to respect the rule of law and be democratic, and as such, it is assumed that claims could be made directly in those countries, rather than in the Canadian courts (49)
D’après les défenseurs de cette proposition, dont le député Cotler et le professeur de droit François Larocque de l’Université d’Ottawa, cela permettrait d'empêcher les poursuites sans fondement tout en rendant le processus moins politisé que si l’on ne pouvait poursuivre que les pays inscrits sur une liste(48). On présume dans ce scénario que les pays avec lesquels le Canada a des traités d’extradition respectent la primauté du droit et sont démocratiques et que, par conséquent, les demandes pourraient être présentées directement dans ces pays, plutôt que devant les tribunaux canadiens(49).