It is indicative that the seven consecutive increases since December 2005, when the base rate was 2%, have resulted in soaring profits for the banks, multiple increases in monthly mortgage repayments and in conjunction with falling wages and pensions have, in general, dealt a severe blow to the standard of living of working-class families.
Il est révélateur de constater que les sept augmentations successives qui ont eu lieu depuis décembre 2005, alors que le taux d’intérêt de base était de 2 %, ont fait monter en flèche les bénéfices des banques, ont provoqué une progression constante des remboursements mensuels des prêts immobiliers et, combinés à la baisse des salaires et des retraites, ont plus généralement porté un coup brutal au niveau de vie de la classe ouvrière.