It is even more difficult to attribute relatively rare effects (for example, the appearance of psychotic symptoms) insofar as it is hard to decide if the co-occurrence is coincidental, if these effects stem from other substances often associated with cannabis use or from very high doses of cannabis, or from interactions between these various factors.[19]
Il est encore plus difficile d’attribuer des effets relativement rares (par exemple l’apparition de symptômes psychotiques) dans la mesure où l’on peut difficilement décider si la co-occurrence est coïncidentielle, si ces effets relèvent d’autres substances souvent associées à la prise de cannabis ou de doses très élevées de cannabis, ou d’interactions entre ces divers facteurs.[19]