Although the coastal wetlands of Georgian Bay are still among the least human disturbed, the sustained drop in water level of close to a metre over the last 15 years, the expansion of road networks and increases in cottage and residential development, and the invasion by non-native species such as the zebra and quagga mussels, the round goby, and the common reed are threatening the integrity of these sensitive ecosystems.
Bien que les milieux humides riverains de la baie Georgienne demeurent parmi les écosystèmes les moins altérés par les humains, la diminution soutenue du niveau d'eau — qui s'est abaissé de près d'un mètre au cours des 15 dernières années —, l'expansion du réseau routier, l'augmentation du nombre de chalets et de résidences et les invasions d'espèces non indigènes comme les moules zébrées et quaggas, le gobie à taches noires et le roseau commun menacent l'intégrité de ces écosystèmes fragiles.