A number of comments concerning Bill C-26 have mentioned the possibility of vigilantism rising from a publicly accessible database of sex offenders.29 Detective Constable Stephen Canton, the police officer in charge of the Niagara Regional Police sex offender registry, is also concerned that “[w]hen you start to identify offenders, you start to get less compliance and it pushes them underground”. 30
Un certain nombre de commentaires sur le projet de loi évoquent la possibilité qu’un registre des délinquants sexuels accessible au public donne lieu à des phénomènes d’autojustice ou de « vigilantisme 29 ». L’agent-détective Stephen Canton, préposé au registre des délinquants sexuels du service de police régional de Niagara, craint de son côté que « lorsqu’on cherche à identifier les délinquants, on obtient de leur part moins de conformité aux lois et on les pousse dans la clandestinité 30 ».