There is blame to be shared by everyone, by the Government of Canada, by the Government of Newfoundland and Labrador, by foreign trawlers, by our own domestic fleet, by viewing the fishery as an occupation of last resort, by international organizations that are powerless, that are toothless to manage migratory stocks, by the use of fish stocks as international bargaining chips, by greed, by apathy everywhere.
Tout le monde est coupable, que ce soit le gouvernement du Canada, le gouvernement de Terre-Neuve-et-Labrador, les pêcheurs étrangers, nos propres pêcheurs, ceux qui ont vu les pêches comme une profession de dernier recours, ou les organismes internationaux qui ne peuvent pas agir, qui n'ont pas le pouvoir nécessaire pour gérer les stocks migratoires. D'autres facteurs entrent aussi en jeu, par exemple l'utilisation des stocks de poissons comme pions de négociation à l'échelle internationale, l'appât du gain et l'inertie de tout un chacun.