The evidence we had on surrogacy from pediatric psychiatrists and experienced social workers was that when sisters and sisters-in-law are the only people who could gestate a child—and this needn't be with any advanced technology; it needn't be so-called “full surrogacy”, with in vitro fertilization, so that the surrogate mother is not the genetic mother—the experience of their doing so goes back far before advanced technologies using artificial insemination and involves nothing more sophisticated than a turkey baster.
Des pédopsychiatres et des travailleurs sociaux d'expérience sont venus déclarer, au sujet des mères porteuses, qu'à une époque, la soeur et les belles-soeurs des futurs parents étaient les seules personnes qui pouvaient porter un enfant pour un couple stérile, et il n'y avait pas besoin d'utiliser une technique très raffinée; on ne parlait pas de «maternité de substitution», avec fertilisation in vitro, de sorte que la mère porteuse n'était pas la mère génétique; cela se faisait bien avant que l'on adopte des techniques de pointe, ou utilisait l'insémination artificielle, et il s'agissait simplement de se servir d'une poire à jus.