How can the minister justify the decision not to trace hepatitis C carriers before 1990 by the fact that there were several jurisdictions involved, when the decision made arbitrarily at the time to stop traceback was made by the Red Cross alone?
Comment la ministre peut-elle expliquer qu'elle justifie la décision de ne pas dépister les porteurs de l'hépatite C avant 1990, par le fait qu'il y a plusieurs juridictions en cette matière, alors que c'est la Croix-Rouge, seule, qui a pris la décision arbitraire de cesser le dépistage à ce moment?