The key, though, with the Canadian Grain Commission is, when you can't grade a product by visual distinction, how the commission can ensure—in the case, maybe, of some high-milling wheat that's being sold to wherever—that the quality is there for its intended purpose, whether it's making bread in some foreign country or whatever.
Cependant, le problème, pour la Commission canadienne des grains, est qu'elle ne pourra pas garantir la qualité des grains si elle ne peut pas classer les grains par distinction visuelle, que ceux-ci soient destinés à fabriquer du pain dans un pays étranger ou à faire quoi que ce soit d'autre.