As part of the preparation of the 2002 reform of the Common Fisheries Policy, the Commission concluded[2] that many stocks were outside safe biological limits, were too heavily exploited, or had low quantities of mature fish.
Dans le cadre des travaux préparatoires relatifs à la réforme de la politique commune de la pêche de 2002, la Commission a établi [2] que de nombreux stocks se situaient en deçà des limites biologiques de sécurité, faisaient l’objet d’une exploitation excessive ou bien comptaient peu de poissons adultes.