Good – very good, we will say – but we Radicals n
evertheless believe that instead of setting or reintroducing impressive objectives, we should do useful and fair things right now: welfare systems are in urgent need of immediate reform, and for many States constitute, in addition to a serious injustice for fu
ture generations, a real time bomb for the sustainability of public finances; we need to liberalise the markets in key sectors such as energy, transport, postal services and the professions; we need to create a truly integrated E
...[+++]uropean financial market; there must be drastic cuts in the burdens weighing down, in particular, small and medium-sized businesses in Europe – tax burdens and bureaucratic burdens in terms of employment regulations – and which are one of the reasons for which a substantial number of European entrepreneurs and microentrepreneurs – I am referring mainly, but not exclusively, to Italy – are driven into the underground economy, a type of economy which evades regulation, which evades legality precisely because of the excessive burdens which are imposed.Bien - très bien, dirions-nous -, mais nous les radicaux, nous pensons toutefois que, plutôt que de fixer ou de proposer à nouveau de grands objectifs, il faut faire immédiatement des choses bonnes et justes : il est urgent de réformer tout de suite les systèmes de sécurité sociale, qui représentent pour de nombreux pays, outre un élément de grave déséquilibre vis-à-vis des générations à venir, une véritable bombe à retardement pour la durabilité des finances publiques ; il faut libéraliser les marchés dans des secteurs-clés tels que l'énergie, les transports, les services postaux, les professions ; il faut créer un marché financier eu
...[+++]ropéen vraiment intégré ; il est nécessaire de réduire drastiquement les charges pesant en particulier sur les petites et moyennes entreprises en Europe - charges fiscales, bureaucratiques, en termes de réglementation du travail - qui constituent une des raisons pour lesquelles une partie importante des entrepreneurs et des microentrepreneurs européens - je pense notamment, mais pas seulement, à l'Italie - sont poussés dans l'économie clandestine, une économie qui échappe à la réglementation, à la légalité à cause justement des charges excessives qui lui sont imposées.