So the idea is that the broadcaster merely charges its normal 10- or 15-second rates and calls it a captioning sponsorship, and allegedly uses that money to pay for the captioning when in fact captioning is either free, in the case of many American programs delivered off satellite, or inexpensive, in the case of real-time captioning, which is about $145 per broadcast hour now, which is essentially nothing, or semi-expensive, if you're somehow managing to license American captioning or if you use one of the more expensive but still not very competent Canadian providers.
Selon ce principe, le radiodiffuseur se contente d'appliquer son tarif normal correspondant aux 10 ou 15 secondes en qualifiant cela de sous-titrage commandité et déclare avoir utilisé cet argent pour payer le sous-titrage alors que celui-ci est soit gratuit, dans le cas de nombre d'émissions américaines diffusées par satellite, soit peu coûteux, s'il s'agit
d'un sous-titrage effectué en temps réel, qui coûte actuellement environ 145 $ par heure d'émission, soit à peu près rien, ou très peu, si l'on s'est arrangé pour obtenir sous licence le sous-titrage américain ou si l'on a recours à un sous-titrage plus onéreux, mais qui reste très p
...[+++]eu qualifié, en provenance des fournisseurs canadiens.